Un imaginaire fertile et fécond est pour nous la clé du bien vivre, avec soi, les autres vivanz et Gaïa. Nous avons à cœur depuis nos débuts de cultiver la diversité et la variété des imaginaires et de lutter contre leur exploitation. Chez imagine…, nous travaillons à soigner et ouvrir nos imaginaires pour les libérer de tous les carcans.
Nous savons que nos imaginaires, pour peu qu’on respecte leur écologie, recèlent quantité de façons de rêver le monde qui dépassent les visions apocalyptiques, technoptimistes ou éco-autoritaires dont l’époque les abreuve. Nous avons la conviction qu’il importe avant tout pour que nos imaginaires expriment toute leur puissance de les laisser s’épanouir au gré de leur écologie propre plutôt que de chercher à les maîtriser.
Nous revendiquons pour nos imaginaires les principes de la permaculture : un terreau fertile, de la diversité et… beaucoup de liberté pour permettre à l’écosystème imaginal de s’autoréguler et aux rêves de co-évoluer.
Notre diversité imaginale est notre force
Chez imagine… rien ni personne n’est hors-champ, rien ni personne n’est hors jeu. On ne loue pas son imaginaire, on l’ouvre aux autres et on explore en retour les leurs, librement. On voyage à mesure de ce que l’on est prêz à mettre en partage. Chaque voyageureuz jouit de la pleine et entière souveraineté sur son monde imaginal et choisit librement, en conscience, ce qu’iel met en partage, ce dont iel se nourrit.
Lumineux ou sombres, baroques ou minimalistes, monochromes ou bariolés, futuristes ou rétro, magiques ou réalistes… tous les imaginaires ont leur place ici. C’est pour nous la condition à des voyages riches et à des imaginaires féconds.
Notre seule ligne rouge est celle qui sépare un imaginaire vivant d’un imaginaire préfabriqué qui s’ignore.
Oui, bien sûr, se libérer de ce qui, à force d’exploitation, a stérilisé notre terreau imaginal est un combat quotidien, âpre. Nous faisons le choix de lutter, avec ferveur et lucidité.
Le voyage, le soin sont nos seules armes. La route est longue, mais la route est belle et nous l’arpentons avec bienvaillance, libéréz de tout sentiment de culpabilité.
Le voyage, le soin sont nos seules armes. La route est longue, mais la route est belle et nous l’arpentons avec bienvaillance, libéréz de tout sentiment de culpabilité.
Réapproprions-nous notre pouvoir imaginal
Retrouvez l’appel à une permaculture des imaginaires
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